Cette note revient sur des mesures effectuées de manière continue pendant 15 mois sur 64 parcelles de 57 fermes. Ces mesures visait à quantifier la valeur de la biomasse fraîche de l’herbe produite sur les structures antiérosives tout au long de l’année (pour de jeunes plantes et des plantes plus âgées) ainsi que leur valeur économique. Elles montrent que l’espace « perdu » pour la mise en place de structures anti-érosives est largement compensé par la valeur économique de ces graminées fourragères.
La plantation de cultures pérennes telles que les graminées fourragères sur ces structures permet non seulement de stabiliser physiquement le sol et de maintenir son humidité, mais aussi d’augmenter considérablement les ressources fourragères des familles et de générer des sources de revenus supplémentaires.
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